Mélissa Bank – Prochain arrêt le paradis / chronique

Quelques informations sur ce livre :

Auteur : Mélissa Bank
Titre : Prochain arrêt, le paradis
Nombre de pages : 374
Éditions : Rivages
Prix : 20,00 €
Date de sortie : 2005 

Quatrième de couverture :

Rien ne va de soi pour Sophie Applebaum. la nouvelle héroïne de Melissa Bank. Enfant espiègle, elle s'applique à faire plaisir ; jeune diplômée fascinée par New York, elle peine à trouver un emploi ; amie fidèle, elle découvre que la loyauté n'est pas forcément la chose la mieux partagée au monde ; amoureuse impétueuse, elle rompt aussi souvent ou presque quelle s'éprend. Mais Sophie, toujours, relève le gant. Avec d'autant plus d'ardeur que sa famille, véritable tribu où l'on rit, s'aime, se chamaille et pleure, n'est jamais loin. Drôle, émouvant, agité, Prochain arrêt le paradis raconte avec entrain les tribulations d'une fille bien décidée à conquérir le monde ou pour le moins à y trouver sa place.

Ce que Romy en a pensé :

Mélissa Bank est une découverte pour moi : « Manuel de chasse et de pêche à l’usage des filles », son précédent roman, ne m’attirant pas vraiment, c’est avec celui-ci que j’ai commencé mon aventure, le titre me laissant rêveuse… 

C’est avec grand peine que je suis venue à bout des presque 400 pages, le style et l’histoire me dérangeant au plus haut point. 

L’histoire en elle-même n’est pas passionnante pour un sou : Sophie, notre héroïne, mène une vie monotone et inintéressante ; pas de quoi en faire un bouquin… C’est simple, il ne se passe absolument rien, ça tourne en rond et on s’en lasse très vite. 

On suit les aventures de Sophie, de son adolescence à sa vie d’adulte : Sophie qui refuse de suivre les cours du soir, Sophie qui trouve un travail dans l’édition, Sophie qui nous ennuie, quoi ! 

Elle est fade, terne, ennuyante ; on se languit de vite en finir et de classer ce bouquin tout au fond de notre bibliothèque, là où il se sera pas trop visible (on l’a tous déjà fait!).

Les chapitres sont très longs, inintéressants ; il faut se forcer à chaque fois à en démarrer un autre. L’histoire est narrée au passé, les dialogues sont mal tournés et incompréhensibles quelques fois.

Mélissa Bank ne m’aura pas convaincue !