dimanche 14 février 2016

Anna Gavalda – Des vies en mieux / chronique

Quelques information sur ce livre :

Auteur : Anna Gavalda
Titre : Des vies en mieux
Éditeur : J'ai Lu
Nombre de pages : 448
Prix : 7,80 €
Date de sortie : 20 mai 2015


Quatrième de couverture :

Billie a 13 ans. Elle n'a connu que les coups et la misère. Un matin, en classe, elle découvre On ne badine pas avec l'amour d'Alfred de Musset et l'amitié. Sa vie va changer.

Mathilde a 24 ans. Un jour, elle oublie son sac à main dans un café. Un homme le lui rend la semaine suivante et, à cause de cet homme justement, elle décide de changer de vie.

Yann a 26 ans. Un soir, il rend service à son voisin de palier qui l'invite à dîner pour le remercier. Au cours de cette soirée, il réalise que sa vie n'a aucun intérêt et qu'il doit tout recommencer.

Trois prénoms. Trois histoires. Trois jeunes gens d'aujourd'hui, déterminés et courageux, qui préfèrent encore se tromper de vie plutôt que de n'en vivre aucune.


Ce que Cédric en a pensé :

Des vies en mieux n'est ni un roman ni un recueil de nouvelles : il se trouve à la croisée des deux exercices (trois histoires trop longues pour être considérées comme des nouvelles mais trop courtes pour prétendre au noble titre de roman), ce qui en fait un livre... bizarre.

Cette édition poche regroupe en fait les deux précédentes œuvres de l'auteure : Billie, édité en 2013, et La vie en mieux datant de 2014 et qui comportait deux petites histoire. Un plus deux égal trois, le compte est bon ! Toutes ces histoires ont un dénominateur commun : la vie de leur personnage principal va être bouleversée suite à un évènement surgissant de nulle part.

Je ne sais pas trop quoi penser de ce bouquin... Déjà, cela commençait mal avec ce format hybride qui a mis à mal mon esprit un brin cartésien. Ensuite, je n'avais pas lu Anna Gavalda depuis très longtemps et j'en gardais un excellent souvenir, mais je dois avouer que j'ai eu un peu de mal ici. Un peu de mal avec les personnages qui interpellent directement le lecteur et avec leur langage cru, limite vulgaire. La crudité et la vulgarité ne me dérangent pas outre mesure en temps normal – je suis loin d'être pudibond –, lorsque cela sert l'histoire, mais là, je ne sais pas, cela m'a gêné. Un peu. Pas énormément, mais quand même. Assez pour en parler ici, en tout cas.

Quoiqu'il en soit, je ne garderai pas un souvenir impérissable des aventures de Billie (malgré sa révérence pour On ne badine pas avec l'amour, révérence que je partage), Mathilde et Yann.

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